Ancienne gare transformée en refuge, l'acropole accueille aujourd'hui les rebelles et les transfuges. Équipée avec les moyens du bord, on y trouve cependant une centaine de matelas à même le sol, une bibliothèque alimentée des livres que les habitants trouvent ou volent, du mobilier de seconde main, des cuisines construites par des bénévoles et un garde manger alimenté à chaque passage par les rebelles eux-mêmes. L'acropole sert de point d'observation, de point de passage, d'intermédiaire entre la Haute Ville et les Bas Quartiers, de cachette et de lieu d'habitation pour ceux qui n'en auraient pas les moyens. Certaines personnes venant d'autres villes du globe qui sont passées à La Souveraine illégalement restent souvent quelques jours à l'Acropole le temps que les choses se tassent avant de pouvoir sortir. Les différentes organisations Rebelles s'en servent également pour communiquer entre elles, se faire passer des messages mais aussi des vivres, des armes ou même des recrues.